Étude d’Edward Jones : Le fossé intergénérationnel est lié à des différences importantes quant à la façon dont les Canadiens dépensent et économisent leur argent

Communiqués | 18 févr. 2020

Près de 80 % (77 %) des membres de la génération X ont des préoccupations financières.

Edward Jones publie aujourd’hui une nouvelle étude qui révèle les relations uniques que les Canadiens entretiennent avec l’argent et qui présente en quoi leur approche à l’égard de l’argent diffère d’une génération à l’autre.

L’étude indique que 58 % des Canadiens se considèrent comme des épargnants, tandis que 37 % s’identifient comme des dépensiers. Les baby-boomers (55 à 75 ans) étaient les plus susceptibles de se considérer comme des épargnants (62 %), tandis que les milléniaux (25 à 39 ans) étaient les plus susceptibles de se considérer comme des dépensiers (42 %).

Lorsqu’il s’agit de rembourser leurs dettes, peu importe l’âge, les Canadiens sont plus semblables qu’ils ne sont différents. Bien que les dépensiers aient été beaucoup plus susceptibles de privilégier le remboursement de la dette (45 %) que les épargnants (26 %), la génération Z (18 à 24 ans), les milléniaux (25 à 39 ans) et la génération X (40 à 5 ans) ont toutes les trois indiqué que le remboursement de la dette était leur priorité financière à court terme la plus importante, soit 37 %, 40 % et 37 %, respectivement. En fait, 49 % des répondants de ces cohortes générationnelles ont indiqué qu’ils accorderaient la priorité au remboursement de leurs dettes s’ils recevaient une manne de 10 000 $.

Mis à part le remboursement des dettes, l’étude montre un fossé intergénérationnel dans la façon dont les Canadiens répartissent leur revenu. Alors que les milléniaux (25-39 ans) et les baby-boomers (55-75 ans) sont plus susceptibles de consacrer leur argent à des dépenses comme des dîners, des concerts et des vacances (58 % et 57 % respectivement), la génération Z (18-24 ans) est plus susceptible de dépenser ses économies pour acquérir de nouveaux biens comme des vêtements et des appareils électroniques, comparativement aux générations plus âgées.

« Bien que nous comprenions théoriquement que les priorités financières varient d’une génération à l’autre, cette étude souligne davantage la façon dont les Canadiens, à différentes étapes de leur vie, dépensent et épargnent. Elle met en lumière la relation qu’ont les Canadiens avec leur argent » a déclaré David Gunn, directeur national d’Edward Jones Canada. « Notre approche de la compréhension des besoins individuels des investisseurs canadiens et notre façon de les soutenir pour atteindre leurs objectifs, qu’ils soient personnels ou financiers, puisqu’ils sont intrinsèquement liés, changent en fonction des perspectives de gestion des finances d’une génération à l’autre. »

Interrogés sur leur priorité financière à court terme la plus importante, les baby-boomers ont mentionné le maintien de leur mode de vie (37 %) et près de la moitié d’entre eux ont déclaré ne pas avoir d’inquiétudes financières (47 %). Par comparaison, 77 % des membres de la génération X (40 à 54 ans) ont fait part de leurs préoccupations financières.

L’étude a également révélé la façon dont les Canadiens investissent leur argent. Bien que 65 % des investisseurs placent leur argent dans un CELI, un REER, un bien immobilier ou un autre instrument financier, 33 % affirment ne pas investir du tout. Lesépargnants sont plus susceptibles de profiter des produits de placement, car près de 80 % d’entre eux investissent actuellement leur argent dans l’un des instruments de placement susmentionnés.

Les Canadiens attendent peut-être trop longtemps pour commencer à épargner en vue de leur retraite. Selon l’étude, seulement 31,3 % des Canadiens âgés de 18 à 34 ans investissent dans un REER. Ce pourcentage grimpe à 48 % pour les Canadiens âgés de 35 à 44 ans et à 59 % pour ceux âgés de 45 à 54 ans. Il semblerait que les jeunesCanadiens préfèrent investir leur argent dans un CELI, car 43 % des Canadiens âgés de 18 à 34 ans y investissent.

À propos d’Edward Jones

Edward Jones est une société de courtage de plein exercice qui compte plus de 850 représentants en services financiers dans les collectivités canadiennes d’un océan à l’autre. Membre de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières et du Fonds canadien de protection des épargnants, Edward Jones est également membre de la Bourse de Toronto. Edward Jones a été classé au premier rang pendant sept années consécutives, de 2013 à 2019, dans l’étude de J.D. Power sur la satisfaction des investisseurs à l’égard des sociétés de courtage de plein exercice (J.D. Power Canadian Full Service Investor Satisfaction Studies). Pour en savoir plus, consultez le site edwardjones.ca.

Edward Jones s’est classé au premier rang des sociétés de courtage de plein exercice évaluées dans le cadre des études de 2013 à 2019 de J.D. Power auprès des investisseurs à l’égard des sociétés de courtage de plein exercice au Canada (J.D. Power Canadian Full Service Investor Satisfaction Studies). Consultez le site jdpower.com/awards.

Informations importantes :

Ce sondage d’Edward Jones présente les résultats de deux sondages en ligne effectués entre le 13 et le 16 décembre 2019 et entre le 17 et le 20 janvier 2020, auxquels ont participé respectivement 1526 et 1587 Canadiens, à l’aide du panel en ligne de Leger. La marge d’erreur pour ces études était de +/-2,5 %, 19 fois sur 20. Pour être admissibles à ce sondage, les répondants devaient être âgés d’au moins 18 ans et résider au Canada.

Edward Jones, ses employés et ses représentants en services financiers ne sont pas des spécialistes en planification successorale et ne peuvent fournir des conseils fiscaux ou juridiques.