Résumé hebdomadaire des marchés

L’IA plie, mais ne rompt pas : pourquoi conserver une approche équilibrée reste important
Principaux points à retenir :
- Les marchés boursiers se sont repliés au début de novembre, l’enthousiasme à l’égard de l’IA semblant avoir freiné la progression des valorisations. Les bénéfices des sociétés demeurent élevés et les plans de dépenses en IA semblent continuer bon train, ce qui donne à penser que ce repli est le reflet d’un rééquilibrage de la confiance et des valorisations, et non d’un affaiblissement des paramètres fondamentaux des sociétés.
- La volatilité observée récemment souligne les risques d’une concentration historique des marchés, les dix principaux titres représentant maintenant plus de 40 % de la capitalisation boursière de l’indice S&P 500. Le marché commence à craindre la formation d’une bulle, mais les chefs de file technologiques actuels sont rentables et détiennent des liquidités, et la Fed assouplit sa politique monétaire.
- Même si la publication des données des États-Unis est repoussée en raison de la paralysie actuelle du gouvernement, le rapport sur l’emploi au Canada indique que l’économie a créé 66 000 emplois en octobre, une belle surprise à la hausse qui a fait passer le taux de chômage de 7,1 % à 6,9 %.
- Les mises à pied liées à l’IA augmentent et concernent surtout des postes technologiques, même si elles représentent toujours une petite part des suppressions d’emplois globales. Même si nous sommes d’avis que les gains de productivité découlant de l’IA devraient, à terme, stimuler la création d’emplois, son adoption à court terme pourrait entraîner un ralentissement du marché de l’emploi.
- Selon nous, les investisseurs devraient conserver une exposition à l’IA et à l’innovation, mais éviter une surconcentration. Nous estimons qu’il est essentiel qu’un portefeuille soit équilibré au niveau des secteurs, de la capitalisation boursière et des régions pour gérer le risque et saisir les occasions lorsque le groupe de meneurs s’élargira.
Le mois de novembre a commencé par une période de turbulences sur les marchés boursiers, déclenchée par un regain d’attention portée aux valorisations des sociétés d’intelligence artificielle (IA). Même si l’enthousiasme à l’égard de l’IA continue de stimuler l’innovation et l’intérêt des investisseurs, il pourrait également amplifier la volatilité, d’autant plus que seuls quelques titres de sociétés technologiques à mégacapitalisation dominent le rendement de l’indice américain.
Nous demeurons convaincus que l’IA a le potentiel de stimuler les bénéfices des sociétés et la croissance économique à long terme grâce à des gains de productivité, mais pensons tout de même qu’il est possible que le marché de l’emploi connaisse quelques perturbations à court terme. Néanmoins, les récentes fluctuations du niveau de confiance nous rappellent à point nommé les risques liés à la surconcentration. Dans un marché haussier porté par l’IA, nous estimons qu’il est primordial de maintenir l’équilibre des portefeuilles au niveau des catégories d’actif, des régions et des secteurs.
La confiance se rééquilibre alors que l’engouement s’étiole, mais les paramètres fondamentaux produisent toujours des résultats
Le repli des marchés boursiers observé la semaine dernière a été déclenché par des préoccupations renouvelées à l’égard des valorisations excessives, à la suite des remarques prudentes de deux chefs de la direction de grandes banques lors d’une conférence du secteur des services financiers*. Même si les données fondamentales entourant l’IA demeurent intactes, le scepticisme à l’égard des titres très performants, surtout après sept mois consécutifs de gains du NASDAQ, indice fortement axé sur les technologies, a entraîné des prises de profits*. En substance, l’enthousiasme pour l’IA semble s’être heurté à la réalité des valorisations, provoquant une rotation sectorielle.
La bonne nouvelle, selon nous? Malgré le déclin de l’engouement pour l’IA, les paramètres fondamentaux des sociétés continuent de surprendre à la hausse. Jeudi dernier, environ 85 % des sociétés de l’indice S&P 500 avaient publié leurs bénéfices du troisième trimestre, notamment cinq des sept magnifiques (Amazon, Apple, Meta, Alphabet et Microsoft)*. Comme 82 % des sociétés ont dépassé les attentes, soit plus que la moyenne sur cinq ans de 78 %, l’indice est en voie d’enregistrer une croissance des bénéfices de 12 %, ce qui représenterait le quatrième trimestre consécutif de gains à deux chiffres*.
L’un des principaux facteurs de cette vigueur demeure le secteur des technologies, qui a inscrit une croissance des bénéfices de 22 %*. Les bénéfices des sept magnifiques continuent de surpasser ceux de l’ensemble du marché, plusieurs sociétés technologiques à mégacapitalisation ayant augmenté leurs prévisions de bénéfices et de dépenses liées à l’IA*. Nous sommes d’avis que cette hausse des investissements témoigne non seulement de la forte demande des clients et des occasions, mais aussi d’un impératif stratégique : l’IA semble de plus en plus considérée comme essentielle pour survivre, car les sociétés concurrentes émergentes dans le domaine de l’IA représentent probablement des menaces existentielles.
En fin de compte, nous ne voyons aucun signe de détérioration des bénéfices, des plans de dépenses ou des prévisions. Selon nous, ce repli semble être un rééquilibrage de la confiance et des valorisations, et non une évolution des paramètres fondamentaux des sociétés.

Ce graphique montre la croissance des bénéfices des sept magnifiques par rapport celle des sociétés de l’indice S&P 500. Bien que la croissance des bénéfices des sociétés technologiques à mégacapitalisation ralentisse, elle continue de surpasser celle du reste du marché. Les sept magnifiques sont Alphabet (Google), Amazon, Apple, Meta Platforms (Facebook, Instagram), Microsoft, Nvidia et Tesla. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Un indice n’est pas géré et il est impossible d’y investir directement. Il ne vise pas à rendre compte du rendement d’un placement réel.

Ce graphique montre la croissance des bénéfices des sept magnifiques par rapport celle des sociétés de l’indice S&P 500. Bien que la croissance des bénéfices des sociétés technologiques à mégacapitalisation ralentisse, elle continue de surpasser celle du reste du marché. Les sept magnifiques sont Alphabet (Google), Amazon, Apple, Meta Platforms (Facebook, Instagram), Microsoft, Nvidia et Tesla. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Un indice n’est pas géré et il est impossible d’y investir directement. Il ne vise pas à rendre compte du rendement d’un placement réel.
Une bulle de l’IA est-elle en train de se former?
Depuis le lancement de ChatGPT à la fin de 2022, les sept magnifiques ont bondi de près de 190 %, ce qui a fait grimper l’indice S&P 500 de 75 %, tout en créant une concentration sans précédent du marché*. Aujourd’hui, les dix principaux titres représentent plus de 40 % de la capitalisation boursière de l’indice S&P 500**.
Au cœur de cette remontée, la société NVIDIA, pierre angulaire de l’écosystème de l’IA, est récemment devenue la première entreprise de l’histoire à dépasser les 5 000 milliards de dollars de capitalisation boursière*. Pour mettre cette donnée en contexte, cette capitalisation boursière est :
- supérieure à celle de cinq secteurs sur les onze qui composent l’indice S&P 500*;
- égale à 60 % de l’univers des titres à petite capitalisation de l’indice Russell 2000*;
- équivalente à la moitié de celle de l’indice de référence européen des sociétés à grande capitalisation, le STOXX 600*; et
- supérieure au PIB de l’Allemagne*.

Ce graphique montre que les 10 principales sociétés de l’indice S&P 500 par capitalisation boursière représentent désormais 40 % de l’indice, une concentration record. Les dix principales sociétés de l’indice S&P 500 par capitalisation boursière sont Alphabet (Google), Amazon, Apple, Berkshire Hathaway, Broadcom, J.P. Morgan Chase, Meta Platforms (Facebook, Instagram), Microsoft, Nvidia et Tesla. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Un indice n’est pas géré et il est impossible d’y investir directement. Il ne vise pas à rendre compte du rendement d’un placement réel.

Ce graphique montre que les 10 principales sociétés de l’indice S&P 500 par capitalisation boursière représentent désormais 40 % de l’indice, une concentration record. Les dix principales sociétés de l’indice S&P 500 par capitalisation boursière sont Alphabet (Google), Amazon, Apple, Berkshire Hathaway, Broadcom, J.P. Morgan Chase, Meta Platforms (Facebook, Instagram), Microsoft, Nvidia et Tesla. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Un indice n’est pas géré et il est impossible d’y investir directement. Il ne vise pas à rendre compte du rendement d’un placement réel.
Plus les valorisations et la concentration augmentent, plus on a tendance à comparer la situation actuelle à la bulle technologique.
Cependant, cette fois-ci, la situation n’est pas tout à fait la même :
- Rentabilité et échéance : Les chefs de file technologiques d’aujourd’hui sont très rentables et comptent sur plusieurs sources de revenus. Contrairement aux entreprises en démarrage spéculatives de 2000, ces sociétés intègrent l’IA à leurs activités de base qui génèrent déjà des bénéfices importants*.
- Durabilité des dépenses : La plupart des sociétés technologiques à mégacapitalisation financent des investissements massifs dans l’IA au moyen de leurs flux de trésorerie internes, et non par l’endettement*. Bien qu’elles nécessitent désormais plus de capitaux qu’avant, elles continuent de produire des niveaux élevés de liquidités grâce à leurs activités, contrairement aux sociétés de télécommunications de la fin des années 1990*.
- Valorisations : Certes, les valorisations sont élevées, mais pas autant qu’en 2000, où les niveaux étaient excessifs*. Aujourd’hui, ce sont les bénéfices, pas seulement l’augmentation des ratios, qui soutiennent la progression*. Puisque les sociétés semblent avoir peu de marge de manœuvre pour assurer la poursuite de l’expansion de leurs ratios, c’est la croissance des bénéfices qui va probablement devoir faire avancer le marché, ce qui laisse entrevoir des gains plus modérés à l’avenir, selon nous.
- Politique de la Fed : Comme on dit, les marchés haussiers ne meurent pas de vieillesse; la Fed y met généralement fin. Contrairement à 2000, où les hausses de taux ont mis un terme à la remontée, la Fed est actuellement dans un cycle de baisse des taux, ce qui contribue à instaurer un contexte plus favorable.
Comme c’est souvent le cas, le recul permet d’identifier plus clairement les bulles. Même si une bulle de l’IA est en train de se former, elle ne semble pas proche de son point culminant. La hausse des bénéfices et les solides paramètres fondamentaux des sociétés contrebalancent les craintes d’exubérance irrationnelle. En fait, nous sommes d’avis que les bénéfices du troisième trimestre ont contribué à renforcer le climat positif autour de l’IA plutôt qu’à le saper.

Ces graphiques montrent que, contrairement à l’action de Cisco à la fin des années 1990, les gains de NVIDIA sont principalement attribuables à la croissance des bénéfices et non à l’expansion de la valorisation. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs.

Ces graphiques montrent que, contrairement à l’action de Cisco à la fin des années 1990, les gains de NVIDIA sont principalement attribuables à la croissance des bénéfices et non à l’expansion de la valorisation. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs.
Quelle est l’incidence de l’IA sur le marché de l’emploi?
Les données sur l’emploi d’octobre pour le Canada font état d’un gain de 66 000 emplois, une belle surprise à la hausse qui a fait passer le taux de chômage de 7,1 % à 6,9 %. Il s’agit du deuxième mois consécutif de forte croissance de l’emploi, un signe positif de reprise qui pourrait cependant inciter la Banque du Canada à maintenir ses taux inchangés pour l’instant.
Aux États-Unis, le ralentissement du marché de l’emploi marque un changement important dans la situation économique de cette année, ce qui a poussé la Fed à reprendre les baisses de taux en septembre. La plus longue paralysie budgétaire de l’histoire des États-Unis retarde la publication des données officielles, ce qui a forcé les investisseurs à se tourner vers des sources privées, comme ADP et Challenger, Gray & Christmas, pour obtenir des données.
Après deux mois consécutifs de pertes d’emplois, ADP a annoncé une modeste augmentation de 42 000 emplois privés en octobre, ce qui laisse entrevoir une certaine stabilisation*. Toutefois, la tendance générale semble toujours indiquer un ralentissement.
L’aversion pour le risque de la semaine dernière a été accentuée par les nouvelles sur les mises à pied. La société de placement externe Challenger, Gray & Christmas a enregistré une forte hausse des annonces de suppressions d’emplois en octobre, qui s’avèrent trois fois supérieures à celles de l’an dernier. Selon Challenger, bien que la réduction des coûts ait été le motif le plus souvent invoqué, l’IA est devenue le deuxième motif le plus courant pour le mois d’octobre. 6 % des mises à pied annoncées depuis le début de l’année sont attribuables à l’IA***. Bien que notable, l’incidence de ce facteur demeure relativement limitée par rapport aux coupes budgétaires du gouvernement et à la réduction du financement fédéral.
Néanmoins, les premières études sur le sujet laissent entrevoir un lien entre l’adoption de l’IA et la hausse du chômage dans certains secteurs. Une étude de la Fed de Saint-Louis a révélé que les professions qui adoptent le plus l’IA générative, comme les postes informatiques et mathématiques, ont connu la plus forte hausse du chômage. Par exemple, les postes vacants de développeur logiciel ont diminué de 75 % par rapport à leurs sommets observés après la pandémie*. En revanche, les postes dans le domaine des services aux personnes, par exemple ceux de prestataires de services de garde d’enfants et de coiffeurs, qui sont moins exposés aux perturbations engendrées par l’IA, sont demeurés relativement stables*.
Selon nous, comme ce fut le cas lors des précédentes vagues d’innovation technologique, quelques suppressions d’emplois sont probables au cours des premières étapes de l’adoption de l’IA. Toutefois, historiquement, les gains de productivité découlant des technologies de rupture ont tendance à stimuler l’activité économique globale, ce qui a pour effet d’accroître la demande de main-d’œuvre et de créer de nouvelles possibilités d’emploi dans l’ensemble de l’économie*.

Ces graphiques illustrent la distribution des annonces de suppressions d’emplois depuis le début de l’année par secteur et par motif. Même si les licenciements demeurent principalement attribuables à la réduction des coûts par le gouvernement, l’IA est un facteur qui pèse de plus en plus dans les tendances du marché de l’emploi.

Ces graphiques illustrent la distribution des annonces de suppressions d’emplois depuis le début de l’année par secteur et par motif. Même si les licenciements demeurent principalement attribuables à la réduction des coûts par le gouvernement, l’IA est un facteur qui pèse de plus en plus dans les tendances du marché de l’emploi.
Comment positionner les portefeuilles dans un marché porté par l’IA
Selon nous, le rééquilibrage de la confiance des investisseurs opéré en novembre est une remise à zéro certes inconfortable, mais saine, après une remontée historique depuis les creux d’avril. L’enthousiasme à l’égard de l’IA semble exagéré, mais n’est probablement pas terminé, car les données fondamentales demeurent favorables. Nous nous attendons toujours à des bénéfices élevés dans le secteur des technologies et à une vigueur relative de l’économie américaine, et ce, en raison de la baisse des taux d’intérêt, d’un soutien budgétaire modéré, de l’apaisement des tensions commerciales et des investissements soutenus dans l’innovation. Par conséquent, nous continuons de surpondérer légèrement les actions américaines à grande capitalisation.
L’IA semble demeurer un puissant moteur de croissance à long terme, mais nous pensons que les investisseurs devraient éviter la surconcentration dans un seul thème. Nous considérons qu’il est essentiel de conserver une approche équilibrée. Nous recommandons d’élargir l’exposition aux secteurs, catégories d’actif et régions qui devraient profiter de la hausse de la productivité et d’une possible réaccélération de la croissance mondiale. Il s’agit notamment des sociétés à petite et à moyenne capitalisation dont les valorisations sont plus faibles*.
Parallèlement, nous considérons la diversification mondiale comme une protection supplémentaire contre le risque de concentration. Les actions internationales à petite et à moyenne capitalisation, ainsi que les actions des marchés émergents, ont pris de l’élan cette année, les perspectives économiques mondiales étant plus favorables et le dollar américain s’étant déprécié*. Même si le dollar s’est stabilisé ces derniers temps, il demeure potentiellement vulnérable aux risques de baisse liés à l’incertitude budgétaire et politique et au cycle de réduction des taux de la Fed, des facteurs qui pourraient soutenir davantage les actions internationales. Selon nous, les valorisations de ces titres demeurent intéressantes, surtout par rapport aux valorisations américaines. Les marchés émergents, en particulier, ont tendance à enregistrer des rendements supérieurs pendant les cycles d’assouplissement de la Fed et offrent une exposition importante à l’innovation technologique mondiale*.
En conclusion : Conservez vos placements en maintenant une exposition appropriée à l’IA et à l’innovation, des thèmes que nous estimons durables. Évitez cependant toute surexposition. À notre avis, la diversification demeure votre meilleure défense dans un marché concentré et évoluant rapidement.
Angelo Kourkafas, CFA
Stratège en placement
Chiffres de clôture ci-dessous
| Indice | Clôture | Semaine | CUM |
|---|---|---|---|
| S&P/TSX | 29,912 | -1.2% | 21.0% |
| S&P 500 | 6,729 | -1.6% | 14.4% |
| MSCI EAEO* | 2,784 | -0.5% | 23.1% |
| Oblig. canadiennes de cat. investissement | 0.2% | 3.7% | |
| Taux des oblig. du gouv. du Canada à 10 ans | 3.13% | 0.0% | -0.1% |
| Pétrole ($/baril) | 59.85 $ | -1.9% | -16.6% |
| Taux de change $ CA/$ US | 0.71 $ | -0.4% | 2.2% |
Sources: *FactSet, **Morningstar Direct, *** Challenger, Gray & Christmas
Source : FactSet, au 7 novembre 2025. Les obligations sont représentées par l’indice Bloomberg Canada Aggregate Bond. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. * Rendement sur quatre jours se terminant jeudi.
La semaine à venir
Les données économiques importantes pour la semaine à venir comprennent les expéditions manufacturières canadiennes, l’inflation selon l’IPC et l’IPP aux États-Unis, les ventes au détail et le salaire horaire. La publication des données du gouvernement des États-Unis pourrait continuer d’être repoussée en raison de la paralysie budgétaire du gouvernement.
Angelo Kourkafas
Angelo Kourkafas est responsable de l’analyse des conditions du marché, de l’évaluation des tendances économiques ainsi que de l’élaboration de stratégies de portefeuille et de recommandations qui aident les investisseurs à atteindre leurs objectifs financiers à long terme.
Il contribue aux rapports d’analyse sur l’actualité boursière d’Edward Jones et a été publié dans The Wall Street Journal, CNBC, le magazine FORTUNE, Marketwatch, U.S. News & World Report, The Observer et le Financial Post.
Il a obtenu un baccalauréat en administration des affaires (avec grande distinction) de l’Université d’économie et de commerce d’Athènes, en Grèce, et une maîtrise en administration des affaires avec spécialisation en finance et en investissement de l’Université d’État du Minnesota.
Renseignements importants :
Le résumé hebdomadaire des marchés est publié chaque vendredi, après la fermeture des marchés.
Ces renseignements sont donnés uniquement à titre informatif et ne doivent pas être interprétés comme un conseil en placement spécifique. Les investisseurs sont invités à prendre des décisions de placement fondées sur leurs objectifs de placement et leur situation financière spécifiques. Même si, à notre connaissance, les renseignements contenus aux présentes sont exacts, ils ne sont pas garantis et peuvent être modifiés sans préavis.
Les investisseurs devraient comprendre les risques liés aux placements, notamment le risque de taux d’intérêt, le risque de crédit et le risque de marché. La valeur des placements fluctue et les investisseurs peuvent perdre une partie ou la totalité de leur capital.
Le rendement passé n’est pas garant du rendement futur.
Les indices boursiers ne sont pas gérés et il est impossible d’y investir directement. Ils ne visent pas à rendre compte du rendement d’un placement réel.
La diversification n’offre aucune garantie de profit ni aucune protection contre les pertes.
L’investissement systématique n’offre aucune garantie de profit ni aucune protection contre les pertes. Les investisseurs doivent tenir compte de leur volonté de continuer à investir lorsque les cours boursiers sont à la baisse.
Les dividendes peuvent être majorés, réduits ou éliminés à tout moment et sans préavis.
Certains risques sont spécifiques aux placements internationaux, notamment ceux qui ont trait aux fluctuations de change ainsi qu’aux événements politiques et économiques étrangers.
