Étude d’Edward Jones : 77,1 % des Canadiens sondés n’ont toujours pas paré aux imprévus sur le plan financier

Communiqués | 31 août 2021

À l’heure où la situation pandémique s’améliore, les Canadiens reconnaissent la nécessité de mieux se protéger contre les revers financiers imprévus.

MISSISSAUGA (Ontario), le 30 août 2021. – Selon un sondage mené par Google pour le compte d’Edward Jones Canada, la pandémie a amené les deux tiers (67,9 %) des Canadiens à mieux se préparer aux urgences ou aux revers financiers potentiels, comme un accident ou une maladie soudaine.

La pandémie, catalyseur d’une prise de conscience

Les Canadiens sont peut-être motivés, mais ils ne sont pas encore prêts. Le plus récent sondage d’Edward Jones a révélé que pour plus des trois quarts des Canadiens (77,1 %), une urgence viendrait peser sur leur situation financière. Ce pourcentage est le plus élevé parmi les jeunes (de 25 à 34 ans) et la génération X (de 45 à 54 ans). Dans ces deux groupes, plus de 80 % des répondants ont déclaré que leur sécurité financière serait compromise advenant une urgence.

« Comme le dit le vieil adage, il faut espérer le meilleur, mais se préparer au pire. Or, on préfère ne pas avoir à penser aux aléas de la vie ou à s’y préparer. Refouler ses plus grandes craintes : l’humain est ainsi fait », souligne David Gunn, président d’Edward Jones Canada. « Malheureusement, un imprévu aux conséquences majeures peut attendre n’importe qui au détour, et les Canadiens ne sauraient être prêts s’ils n’envisagent pas toutes les options pour se protéger. Si la pandémie nous a appris quelque chose, c’est bien l’importance de parer aux imprévus. Cet exercice est souvent négligé dans les stratégies financières, même s’il contribue à protéger nos actifs et, surtout, notre famille contre n’importe quel impondérable. » 

La plupart des Canadiens sont du même avis. Près de 70 % des répondants ont affirmé que les produits d’assurance sont un élément essentiel de leur stratégie financière globale. Toutefois, il y a des écarts qui s’observent. Parmi les Canadiens âgés de 45 à 54 ans, plus du quart (27,8 %) ne voit pas les choses ainsi. Ce pourcentage est encore plus élevé chez les répondants de 25 à 34 ans : 37,6 % ne voient pas l’importance de l’assurance dans leur stratégie financière. 

Les motivations des Canadiens

Lorsqu’il est question d’assurance, les Canadiens sont quelque peu divisés. La majorité des répondants (53,8 %) ont indiqué qu’il leur faudrait un certain aiguillon, comme un article de presse, un rappel de leur représentant en services financiers (s’ils en ont un) ou une frousse pour la santé d’un ami ou d’un être cher, pour envisager de revoir leur couverture d’assurance. À l’inverse, 46,2 % des Canadiens ont déclaré qu’ils passaient en revue de façon proactive leur couverture d’assurance après un changement important dans leur vie, comme la naissance d’un enfant ou l’achat d’une maison, au lieu que ce soient des facteurs externes qui viennent les y inciter.

« Pour qu’une stratégie financière tienne compte de vos besoins en assurance, elle devrait être modifiée de façon continue », ajoute M. Gunn. « Elle devrait suivre l’évolution des valeurs, des objectifs, des priorités et des ambitions, et bien plus encore. En évaluant de façon proactive votre stratégie financière avec votre représentant en services financiers, vous vous assurez de rester sur la bonne voie, d’être protégé et de garder l’esprit tranquille. »

Vers qui se tourner?

Le sondage montre également que 48 % des Canadiens ne savent pas à qui s’adresser pour obtenir des conseils ou des renseignements supplémentaires quant aux produits d’assurance qui conviennent à leur stratégie financière. En vérité, les Canadiens n’ont pas à chercher bien loin. Un représentant en services financiers compétent qui détient un permis d’assurance peut discuter de ces questions avec ses clients et en tenir compte dans la stratégie financière de ces derniers. Toutefois, seulement 11,2 % des répondants ont déclaré avoir consulté leur représentant en services financiers à service complet pour obtenir des conseils sur les produits d’assurance.

Un sondage en ligne a été mené auprès de 1 000 Canadiens par l’entremise de Google Consumer Surveys entre le 12 et le 27 juillet 2021.  Les répondants qui ont dit préférer ne pas répondre ont été exclus des résultats.  Aucune marge d’erreur ne peut être associée à un échantillon non probabiliste. À des fins de comparaison, toutefois, un échantillon probabiliste de 1 000 répondants aurait une marge d’erreur de ±4 % et un niveau de confiance de 99 %.

À propos d’Edward Jones

Edward Jones est une société de courtage de plein exercice qui compte plus de 850 représentants en services financiers dans les collectivités canadiennes d’un océan à l’autre. Membre de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières et du Fonds canadien de protection des épargnants, Edward Jones est également membre de la Bourse de Toronto. Edward Jones est fier de soutenir des partenaires dans le domaine de la santé et du bien-être, comme la Fondation Terry Fox, dont la mission est de soutenir des initiatives qui ont une incidence positive sur la recherche sur le cancer. Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le site edwardjones.ca.

Les assurances et les rentes sont offertes par l’Agence d’assurances Edward Jones (sauf au Québec). Au Québec, les assurances et les rentes sont offertes par l’Agence d’assurances Edward Jones (Québec) Inc.

Pour obtenir de plus amples renseignements ou pour solliciter une entrevue, veuillez communiquer avec :

David Kitai, Edward Jones
[email protected], 905 306-8764

Nathaniel Wallace, Proof Strategies pour Edward Jones
[email protected], 416 566-5055