Votre représentant d’Edward Jones collabore avec vous pour comprendre vos objectifs financiers et vous aider à créer une stratégie pour les atteindre. Une stratégie financière complète devrait vous aider non seulement à atteindre vos objectifs, mais aussi à protéger votre famille et votre avenir financier contre les imprévus. Intégrer une clause « qu’arriverait-il si » dans votre stratégie financière peut déterminer si vous serez en mesure de faire face aux imprévus de la vie ou si vous en subirez les conséquences négatives.

Malgré l’importance d’une protection, plus de la moitié des Canadiens (66 %) ne détiennent pas d’assurance vie individuelle1. Il peut être difficile de parler de vos besoins en assurance vie et il y a beaucoup de mythes. Voici quelques mythes courants sur l’assurance vie que vous pourriez entendre et les réalités qui les accompagnent.

Mythe 1 : « J’ai une assurance vie dans le cadre de mon régime collectif au travail, et c’est suffisant. »

Réalité : L’assurance vie collective est généralement facile à obtenir, relativement bon marché, et le processus est souvent assez simple et ne comporte que quelques questions et aucun test médical. Toutefois, la couverture offerte par les régimes collectifs est souvent inadéquate et insuffisante. Cela s’explique par le fait que la plupart des régimes collectifs d’assurance vie n’offrent qu’une couverture de base, habituellement une ou deux fois votre salaire. Même si la couverture peut parfois être augmentée, jusqu’à concurrence d’une limite précise, les maximums de couverture collective demeurent insuffisants dans la plupart des situations. De plus, un autre désavantage important de l’assurance vie collective est qu’elle est liée à l’emploi – si vous quittez votre employeur, vous perdez l’assurance. Cela représente un risque très important et peut vous laisser sans assurance et sans protection à un moment où il pourrait être plus difficile et plus coûteux pour vous de souscrire une assurance vie pour protéger vos objectifs.

Mythe 2 : « L’assurance vie est trop chère et je ne peux tout simplement pas me la permettre. »

Réalité : L’assurance vie, en particulier l’assurance vie temporaire, peut être très abordable. En général, le coût d’une police d’assurance vie dépend de plusieurs facteurs clés, comme l’âge, l’état de santé et les antécédents, les habitudes tabagiques et le sexe, ainsi que le montant et le type de la police d’assurance souscrite. Par exemple, une femme de 40 ans qui ne fume pas et dont l’état de santé est considéré comme moyen pourrait généralement souscrire une police d’assurance vie temporaire de 10 ans de 500 000 $ pour moins de 30 $ par mois. En fait, pour la plupart des gens, ce n’est pas qu’ils n’ont pas les moyens de souscrire une assurance vie, c’est qu’ils ne peuvent pas se permettre de ne pas y souscrire. La protection peut largement l’emporter sur le coût. précoce de votre vie peut être une excellente façon de planifier l’avenir.

Mythe 3 : « J’ai des problèmes de santé. Ma demande d’assurance vie ne sera jamais approuvée. »

Réalité : Bien que certaines personnes se voient refuser une assurance vie, la vaste majorité des demandes sont approuvées. Bien entendu, si vous avez certains problèmes de santé sous-jacents ou un mode de vie risqué et que, par conséquent, vous êtes plus susceptible de mourir plus tôt, vos primes pourraient être supérieures au montant standard. Une police peut aussi être émise sous réserve de certaines conditions, comme l’annulation des prestations si l’assuré décède au cours d’une activité exclue, telle que le deltaplane ou l’héliski. Dans le cas d’une demande d’assurance vie refusée, la raison la plus courante est liée aux antécédents médicaux du demandeur. Mais, même dans ce cas, il est encore possible d’obtenir une assurance vie « non médicale », même si votre demande a été refusée ailleurs pour des raisons médicales.

Mythe 4 : « Je suis jeune et en bonne santé. Je n’ai pas besoin d’assurance vie. »

Réalité : Bien sûr, cela peut être vrai pour certains – ce n’est pas tout le monde qui a besoin d’une assurance vie. Et il y a des situations où l’assurance vie peut ne pas être importante à un moment donné, mais où l’assurance de remplacement du revenu (invalidité) peut l’être. Mais de nombreuses personnes, y compris celles qui sont jeunes et en bonne santé, ont besoin d’une assurance vie. Par exemple, si vous avez une obligation financière conjointe avec quelqu’un d’autre, comme un prêt hypothécaire, l’assurance vie peut vous aider à vous assurer que le conjoint survivant n’aura pas à assumer le fardeau de cette dette. N’oubliez pas que l’assurance vie est souvent plus abordable pour les jeunes en bonne santé. Pour cette raison, même si vous n’en avez pas besoin immédiatement, mais que vous prévoyez que ce sera le cas bientôt, souscrire une assurance vie à un stade plus.

La première étape consiste simplement à discuter de ces questions avec votre représentant d’Edward Jones. Grâce à notre processus en cinq étapes, votre représentant peut vous aider à intégrer vos objectifs à une stratégie financière. En outre, en vous alliant à un représentant d’Edward Jones, vous pouvez être certain que les recommandations qui vous sont faites vous aideront non seulement à planifier votre avenir, mais aussi à maintenir le cap pour atteindre vos objectifs.

 

1 LIMRA Individual Life Ownership Trends – 2019 Canadian Life Insurance Ownership Study

L’assurance et les rentes sont offertes par l’Agence d’assurances Edward Jones (sauf au Québec). Au Québec, l’assurance et les rentes sont offertes par l’Agence d’assurances Edward Jones (Québec) Inc.